Près de 100 000 personnes accompagnées vers un emploi en 30 ans

81% de sorties positives

74 Millions d’euros de chiffre d’affaires

Participation Phitrust de 22,86% au capital

Travailler est essentiel pour les personnes menacées d’exclusion sociale. Née en 1992, La Varappe est devenue en deux décennies l’un des plus grands groupes d’insertion par l’activité économique (IAE) en France.

Nous rencontrons La Varappe en 2008. C’est alors une petite association d’Aubagne (sud de la France) au chiffre d’affaires de 3 millions d’euros. Sa vocation ? Faciliter l’accès des plus vulnérables au marché du travail. Nous lui proposons de créer une société, filiale de l’ONG, et d’y prendre une participation pour accompagner son changement d’échelle. Nous entrons au Conseil d’administration de la société. À ce stade, il est crucial d’établir la bonne gouvernance et la bonne structure juridique. En 2009 et 2014, nous participons aux deux levées de fonds organisées par la Varappe et restons le premier actionnaire aux côtés de l’association fondatrice et des salariés, garantissant ainsi la mission de l’ensemble : tout mettre en œuvre pour donner un travail aux personnes éloignées de l’emploi et accompagner chacun à construire sa propre trajectoire, à révéler ses talents et à s’émanciper.

“La crise nous a donné l’occasion de repenser notre activité.
Il est temps de ne plus voir l’insertion par l’activité économique comme un secteur à part, mais de prendre la mesure de ses impacts et d’en faire LE modèle d’entrepreneuriat !”

Laurent Laik PDG La Varappe

Le rachat en 2019 d’une entreprise d’insertion par l’intérim en Bourgogne permet au groupe d’élargir son offre d’insertion et de services. Dans le cadre de cette opération, nous accompagnons la gouvernance et la structuration financière de l’opération : des obligations convertibles évitent une dilution du capital trop importante.

Aujourd’hui, le groupe, organisé en trois domaines d’expertise (environnement, éco-construction et santé), affiche près de 74 M€ de chiffre d’affaires et 1 512 ETP (équivalents temps plein) en intérim et insertion.

C’est quoi une entreprise d’insertion ?

L’entreprise d’insertion propose une activité salariale rémunérée et un accompagnement social. En son sein, elle réunit les conditions de travail proches d’une entreprise ordinaire dans le but d’aider le public accueilli, éloigné de l’emploi, à se familiariser avec le monde du travail ou à s’y réhabituer. A terme, l’entreprise d’insertion a pour but de favoriser le retour vers un emploi pérenne. Chaque personne exerçant une activité professionnelle au sein d’une entreprise d’insertion dispose d’un contrat de travail à durée déterminée. Ce contrat a une durée de quatre mois maximale renouvelable pendant vingt-quatre mois. Le taux de sorties positives mesure la poursuite du parcours après les 2 ans vers un emploi ou une formation.

Pour leur mission d’insertion, les entreprises d’insertion bénéficient de financements publics de l’État et des collectivités. Près de 90% des ressources de La Varappe proviennent de son chiffre d’affaires et 10% de financements publics.

Si elles constituent un progrès dans le traitement des enjeux environnementaux, ces résolutions pourraient suivre une normalisation comme cela a été le cas pour le « Say on pay ».

Ce type de résolution a été déposé pour la première fois en 2020 par The Child Investment Fund (TCI) auprès l’entreprise Aena ; le principe est de demander aux actionnaires de voter sur les plans d’actions pour la transition climatique des sociétés. Le vote de plusieurs résolutions dites Say-on-Climate est un véritable pas en avant dans la transition écologique des grandes entreprises.

En 2022, en France, dix entreprises, dont TotalEnergies, EDF, Engie, Amundi, Carrefour ont soumis à l’approbation de leurs actionnaires une résolution de cette sorte. Elles n’étaient que trois en 2021 et zéro en 2020. Il est important de noter qu’elles sont en partie le fruit d’un engagement actionnarial de long terme mené par des acteurs de la gestion soit individuellement soit regroupés au sein de coalitions comme Climate Action 100+.

La question de l’utilité de ces résolutions soulève des débats, certains investisseurs craignent que ce type de résolution ne soit utilisé pour promouvoir des stratégies pas assez ambitieuses qui une fois validées seront plus difficilement critiquables. De plus ces résolutions n’offrent pas toujours un niveau d’information permettant de se faire une opinion. Que soumettre au vote. La stratégie ? Les objectifs ? tous les ans ? Du coup, ces résolutions sont variables. Si elles constituent un progrès dans le traitement des enjeux environnementaux, ces résolutions pourraient suivre une normalisation comme cela a été le cas pour le « Say on pay ».

Depuis l’Accord de Paris en 2015, grand public, entreprises et investisseurs ont pris conscience qu’ils devaient adapter leurs comportements à l’évolution nécessaire des fondements mêmes de nos économies. Le grand public dans ses modes de consommation, les entreprises dans la transition de leurs modèles d’affaires, les investisseurs dans leurs stratégies d’investissement. 

Le grand public a commencé à devenir « consomm’acteur » en essayant de modifier ses modes de vie par le co-voiturage, l’achat via les circuits courts, le recours à l’économie circulaire,… Cela prendra du temps ; les habitudes de voyage, de mobilité, de consommation… ne changent pas en quelques années.

Les grandes entreprises ont travaillé sur des scénarios « net zero » pour 2050. Certaines par elles-mêmes, d’autres poussées par les états. L’industrie automobile en Europe ne pourra plus ainsi y vendre de voitures thermiques. Le changement de ces grandes entreprises industrielles sera long car de nouvelles technologies sont à mettre en œuvre. De plus, elles doivent répondre à la demande actuelle, qui génère la rentabilité nécessaire pour investir dans cette nouvelle stratégie.

Les investisseurs ne parlent plus que d’impact, d’investissement positif. C’est une très bonne chose. Mais la composition des portefeuilles et le niveau de rentabilité attendu (il faut bien financer les retraites) montrent bien qu’aujourd’hui ils sont très modestement investis dans les projets permettant d’atteindre la neutralité carbone.

Face à ce lent « paquebot » qui a entamé sa mue, la jeune génération s’impatiente. Des actions de plus en plus marquées sont relayées par les médias tous les jours. La peur du lendemain, la crainte que la guerre en Ukraine ne retarde les premiers efforts faits pour faire évoluer les modèles d’affaires des entreprises, poussent les jeunes des pays développés à demander des changements plus rapides. Ils ne craignent pas une remise en cause du modèle économique et social actuel ; ils s’inquiètent de la situation de notre planète dans 10 à 20 ans. Certains d’entre eux sont prêts à tout.

Face à ces extrémismes, les pays développés sont tiraillés entre ceux qui ne veulent pas changer de modèle économique (les programmes politiques pour les élections Mid-terms aux USA en sont un bon exemple) et ceux qui appellent de leurs vœux un changement radical. La société se polarise sur ces enjeux climatiques, polarisation exacerbée par le retour de l’inflation après trois décennies de baisse continue.

Sans un mouvement rapide des entreprises vers une neutralité carbone avant 2050, nous risquons de voir monter ces extrémismes, le populisme revenir en force dans les pays développés et les tensions s’exacerber.

En tant qu’investisseurs, nous avons une responsabilité. Celle d’inciter les entreprises à aller plus vite dans la transition de leurs modèles d’affaires. Elles ne le feront que si elles perçoivent cette demande de la part de leurs actionnaires.

Ce sera encore cette année un des grands axes de notre engagement auprès des sociétés cotées. Pourquoi ne pas nous rejoindre en investissant avec Phitrust ? 

Olivier De Guerre

En 2022, Phitrust a voté contre vingt-huit « Say on Pay » proposés par les entreprises du CAC40. Nous avons déposé cinq résolutions et questions écrites questionnant la rémunération du premier dirigeant.

En 2021, le chiffre d’affaires de Téléperformance, n°1 mondial de la relation client à distance, a progressé de 25,7% par rapport à l’exercice précédent, à 7,1 milliards d’euros. Quant au résultat, il a bondi de 72% (557 millions d’euros). Chaque année, le groupe qui emploie 420.000 salariés dans le monde affiche des croissances à deux chiffres. 

En 2020, Téléperformance fait son entrée au CAC 40. Sur l’année 2021, le cours a augmenté de 44%. Une valeur recommandée à l’achat par de nombreux analystes. Ce tableau très positif explique sans doute le haut niveau de rémunération de son PDG, qui figure parmi les trois dirigeants les mieux payés du CAC40. Le volet de la répartition de la valeur dans ce groupe est à analyser. L’écart de rémunération avec les salariés (« ratio d’équité ») excède 100 (1 484x selon Proxinvest sur la base du périmètre Groupe, 397x selon la société sur la base du périmètre France). Rappelons qu’en 2021, le «Say-on-Pay » a obtenu un des pires scores de la saison des assemblées générales (59% d’approbation seulement). La question du bien être des salariés est aussi posée dans une société où le taux de rotation est très élevé alors que la main-d’œuvre constitue son principal atout et que le groupe représente souvent une opportunité de premier emploi. Depuis 2021, environ 70% des salariés de l’entreprise sont en télétravail.

Plusieurs questions écrites ont été posées à l’AG sur le sujet du bien-être des salariés de la part de plusieurs investisseurs professionnels.  Nous réitèrerons nos questions en 2023 à la fois sur les conditions de travail des salariés et le niveau de l’ensemble des composantes de la rémunération de son premier dirigeant. Même si le groupe a produit de très bons résultats l’année dernière, ce niveau de rémunération ne nous semble pas justifié socialement avec un ratio d’équité aussi élevé.

La loi dite Florange promulguée le 1er avril 2015 impose dans les sociétés cotées l’attribution de droits de vote double pour toutes les actions détenues au nominatif depuis deux ans par le même actionnaire. La loi vise à contrecarrer le court-termisme de certains actionnaires en renforçant ceux porteurs de stratégies de long terme. 

Des effets pervers

Les droits de vote double sont porteurs d’effets pervers : ils soustraient le dirigeant à la discipline du marché et les actionnaires majoritaires, disposant d’un avantage structurel en termes d’information et de décision sur la gestion de la société, peuvent être tentés de détourner le mécanisme à leur avantage pour capter la valeur due aux actionnaires minoritaires. 

Ces droits de vote multiples sont surtout le fruit de fondateurs qui les ont instaurés avant d’introduire leur société en bourse. La dissociation entre propriété et contrôlé que créent les droits de vote multiples ou les actions sans droit de vote est particulièrement malsaine car elle encourage justement la création de groupe d’investisseurs seulement intéressés par le dividende, sans affectio societatis, qui laissent les pleins pouvoirs à un actionnaire ou à un concert d’une poignée d’actionnaires.

Si nous sommes pour un actionnariat de long terme, nous préférons de loin le principe d’égalité des actionnaires « une action, une voix ». 

Cinq résolutions et un dialogue persévérant

Gouvernance
2006 et 2007 : Suppression de la clause statutaire de limitation des droits de vote

Rémunérations
2009 : Suppression de la rémunération variable du Président

Environnement
2011 : Modification des statuts pour obtenir l’information dans le rapport de gestion sur l’exploitation des sables bitumineux.
2016 : Publication d’un rapport annuel sur la stratégie en matière de transition énergétique.
2020 : Dialogue actionnarial aboutissant à la modification de l’article 14 des statuts : la responsabilité des administrateurs est élargie aux enjeux environnementaux et sociaux.

Les questions climatiques sont désormais au cœur des décisions stratégiques des entreprises et donc des assemblées générales. Les investisseurs comme les entreprises ont pris conscience, surtout depuis l’Accord de Paris, que le statu quo n’était plus possible. 

De la loi NRE de 2001 à la loi dite de « Devoir de vigilance » en 2017, en passant par les engagements de transparence du Grenelle de l’environnement, les sociétés cotées doivent désormais identifier les risques d’atteinte à l’environnement ou aux droits de l’homme induits par leurs activités directes et indirectes. Toutefois, ces engagements en faveur du climat ou de l’environnement n’avaient rien d’évident il y a quelques années encore. Nous lançons ainsi en 2011 la première résolution environnementale en France, avec l’appui d’ONG, Greenpeace France et le National Resource Defence Council (États-Unis), qui sortaient ainsi de leur mode d’action habituel. L’idée était déjà et de manière pionnière de permettre une prise de conscience par les actionnaires des enjeux environnementaux. Le projet de résolution porte sur les risques environnementaux de l’exploitation des sables bitumineux au Canada. 

En 2013, le groupe annoncera son retrait de deux projets sur les sables bitumineux. Les résultats nets 2020 seront plombés par les dépréciations d’actifs de 8,5 milliards de dollars – dont 7 milliards de $ portant sur les sables bitumineux au Canada…La sortie totale est annoncée pour 2023.

En 2016, après un dépôt de résolution porté par Phitrust, le Conseil d’administration de Total décide de compléter son rapport de gestion par la description des principaux risques et incertitudes auxquels le Groupe est confronté et en particulier ceux liés au changement climatique. 

L’objectif que nous poursuivons en 2019/2020 : concrétiser ce dialogue en demandant l’inscription dans les statuts d’une modification de l’article 14 en élargissant la responsabilité des administrateurs aux enjeux environnementaux et sociaux. C’est un progrès y compris par rapport à ce que demande la loi Pacte : c’est un enjeu qui est devenu statutaire et une obligation qui s’impose maintenant à l’ensemble du Conseil. Sa bonne application sera de la responsabilité des administrateurs, ce qui en droit français, implique un devoir important. 

La résolution est votée à plus de 98% des voix. 

En 2021, Total propose une résolution climatique, « say on climate ». C’est un énorme chemin parcouru par le groupe depuis ces dernières années et nous avons voté cette résolution, comme l’écrasante majorité des investisseurs du Climate Action 100 +. 

Certes, nous pouvons toujours demander plus car la transition énergétique ne va jamais aussi vite que nous le souhaitons. Mais nous considérons que la direction et le Conseil du groupe sont désormais publiquement conscients des enjeux. 

Près de 3 500 familles d’éleveurs, 20 000 micro-distributeurs partenaires : une chaine de valeur de près de 25000 acteurs impactés !

Alors que 90% du lait consommé au Sénégal est importé sous forme de poudre, près de 4 millions de personnes, principalement des Peuls, vivent traditionnellement de l’élevage… et pourraient produire du lait. 

C’est Bagoré Bathily qui lance l’idée :  collecter le lait, le transformer et le vendre localement, pour améliorer les conditions de vie des éleveurs. L’aventure démarre grâce au soutien financier de sa famille et d’Investisseurs & Partenaires pour le Développement, une société d’investissement privée qui finance et accompagne les PME en Afrique. La Laiterie du Berger s’entourera ensuite de danone.communities, de la Fondation Grameen Crédit Agricole et de Phitrust Partenaires en 2010.

L’usine de la Laiterie du Berger est prête en 2006, la production démarre réellement en 2007. En 2009 la marque Dolima est lancée pour le marché local. Par son caractère à la fois entrepreneurial et innovant au plan de la recherche d’impact social durable, la Laiterie du Berger devient un « phare » pour l’entrepreneuriat en Afrique, contribuant à développer la première filière laitière sénégalaise.

Elle reçoit en octobre 2012 le prix « Africa Award for Entrepreneurship ». 

Phitrust vend la moitié de sa participation en 2021 et continue d’accompagner la Laiterie.

Aujourd’hui, La Laiterie du Berger c’est près de 3 500 familles d’éleveurs, 20 000 micro-distributeurs partenaires : une chaine de valeur de près de 25 000 acteurs impactés.

Dépôts de résolutions

2018 : Modification de la limite d’âge dans les statuts de 95 à 75 ans pour le DG en vue d’obtenir la séparation des postes de Président du CA et de DG.

2019 : Nomination de Wendy Evrard Lane comme administrateur indépendant & nomination de Jesper Brandgaard comme administrateur indépendant

Depuis l’annonce en janvier 2017 du rapprochement « entre égaux » entre le fabricant de verres ophtalmiques Essilor International et le lunettier Luxottica, nous avons prévenu les dirigeants et les actionnaires que cette opération relevait d’une prise de contrôle rampante du groupe français par le holding familial de contrôle de Luxottica sans prime pour les minoritaires et sans clarté, ni équilibre sur la future gouvernance. Des alertes qui n’ont pas été entendues et qui se sont révélées justifiées.

Le contexte  

Ce qui s’annonçait comme une fusion « exemplaire » pour créer un leader mondial a vite connu des ratés dans la mise en place de la future gouvernance. Nous avons multiplié les contacts avec les dirigeants et les courriers en amont des assemblées générales de 2017 et d’avril 2018 pour obtenir davantage de clarté sur la gouvernance.  Au départ, le processus de mise en place d’une nouvelle gouvernance devait s’étaler sur deux ou trois ans. Mais l’intention affichée par le fondateur de Luxottica et détenteur de 31% des droits de vote du nouveau groupe, de nommer un de ses proches à la direction générale a brisé un fragile équilibre. En quelques mois, la gouvernance s’est retrouvée prise au cœur d’un conflit ouvert au sein de la direction du groupe, provoquant la chute du titre.

Les résolutions 

C’est dans un climat déjà tendu que nous avons présenté une résolution lors de la première assemblée générale de la nouvelle entité, EssilorLuxottica, en novembre 2018. Cette résolution visait à abaisser la limite d’âge du directeur général de 95 ans à 75 ans afin d’obtenir la séparation des fonctions de direction, trop concentrées dans les mains du PDG, Leonardo Del Vecchio, 83 ans, et d’éviter de futurs blocages. Si la résolution n’a pas réuni le seuil de capital nécessaire à son inscription à l’ordre du jour de l’Assemblée générale, elle a cependant contraint le PDG d’EssilorLuxottica à préciser son intention de recruter un directeur général extérieur au groupe avant 2020. Lorsque le PDG a finalement attaqué le vice-président devant la chambre de commerce international (CCI) pour violation des accords de rapprochement, Phitrust et d’autres sociétés d’investissement ont proposé, en mai 2019, la nomination de deux administrateurs indépendants pour apporter des éléments modérateurs au sein du conseil d’administration. 

Les résultats 

Les scores obtenus sur les deux résolutions proposant des administrateurs indépendants ont été des signaux positifs, malgré la volte-face des actionnaires salariés et retraités d’Essilor. Ces projets de résolution ont contribué à mettre fin au conflit ouvert, notamment la fin de la procédure d’arbitrage devant la CCI et la nomination au conseil du directeur général d’Essilor. Cette affaire montre à nouveau les limites des fusions « entre égaux », sans lancement d’offre publique.  En outre, le rapprochement de sociétés sans actionnaire de référence (Essilor) avec une société ayant un actionnaire de référence familial (Luxottica) pose de fait un problème de contrôle. La solution passe notamment par la nomination d’administrateurs indépendants, pour éviter de nouveaux conflits ouverts.  Notre expérience en France montre que 100% des fusions entre égaux ont échoué… pour des questions de pouvoirs. 

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